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A l’heure des élections européennes je fais le tour des connaissances sur le mode de décision à la Commission.
https://ec.europa.eu/info/strategy/decision-making-process/how-decisions-are-made_fr
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:32000Q3614
PROCEDURE
Une initiative est approuvée par la Commission selon la procédure orale, au cours des réunions hebdomadaires des commissaires, ou selon la procédure écrite, en fonction de son importance politique.
https://ec.europa.eu/info/about-european-commission/organisational-structure/political-leadership/decision-making-during-weekly-meetings_fr
VOTE
Les décisions sont prises collectivement par le collège des commissaires, qui en est responsable devant le Parlement européen. Chacun des 28 commissaires a le même poids dans le processus décisionnel et ils portent tous une responsabilité égale vis-à-vis des décisions prises. Une majorité des membres du collège (15 sur 28) doit voter en faveur d’une décision pour qu’elle soit adoptée. Chaque membre de la Commission dispose d’une voix et ne peut voter qu’en personne. Ils ne disposent d’aucun pouvoir de décision individuelle, sauf en cas d’autorisation accordée dans certaines situations.
ROLE DU PRESIDENT
- décide de l’attribution des responsabilités des commissaires
- définit les orientations politiques de la Commission
TRANSPARENCE
Chaque réunion du collège est convoquée sur la base d’un ordre du jour établi par le président. Les ordres du jour sont publiés en ligne.
http://ec.europa.eu/transparency/regdoc/index.cfm?fuseaction=list&coteId=10060&language=en
http://ec.europa.eu/transparency/regdoc/index.cfm?fuseaction=list&documentType=TODO_LIST&withpdf=true&version=ALL
Chaque réunion du collège fait l’objet d’un procès-verbal publié en ligne.
http://ec.europa.eu/transparency/regdoc/index.cfm;jsessionid=CE944D5E4E51F057ECC20C1773EAC13D.cfusion14501?fuseaction=list&coteId=10061&CFID=120834212&CFTOKEN=94930406&language=en
Je suis frappé de constater le manque de clarté des panneaux autoroutiers en Allemagne par rapport à la France. Les différences culturelles existent depuis longtemps et persistent donc, et sont visibles même en musique: Couperin et autres fr avaient des instructions bcp plus précises que Bach et co sur la manière de jouer une pièce au clavecin.
PS le mot anglais « prescriptive » n’a pas d’équivalent en francais – pourquoi?
L’Allemagne gagne la paix avec la Russie et la Roumanie au début de 1918 (traités de Brest-Litovsk et de Bucarest). Elle peut se concentrer sur la France. Mais, pas de chance, les Etats Unis entrent en guerre en 1917 et arrivent à constituer une armée rapidement. Le débarquement en France est massif en 1918 (400 000 soldats en sept 1918). L’offensive US commence en juillet, l’armistice est en novembre!
Mid-term elections: malgré son succès éco assez unique, la défaite de Trump à la Chambre reste quand même surprenante et difficile à digérer (pour lui). Le Sénat est plus puissant et reste républicain:
https://bdp.parl.ca/About/Parliament/SenatorEugeneForsey/book/chapter_4-f.html
Comment une affirmation devient vérité? Par répétition! Pourtant elle reste fausse: c’est ce qui arrive au succès supposé des primaires de Fillon. 50% des téléspectateurs du dernier débat ont voté seulement. 10% des électeurs inscrits ont voté. On appelle ceci un succès?
Non, en effet:
http://www.cvce.eu/education/unit-content/-/unit/7124614a-42f3-4ced-add8-a5fb3428f21c/719b2ef9-8f60-4dbd-807a-f1bfbf61b4aa
Afin de lui permettre de réaliser ses différentes tâches, l’Eurogroupe bénéficie d’un secrétariat hébergé par la Commission. Ses travaux sont préparés par le groupe de travail Eurogroupe (Eurogroup Working Group) constitué au sein du comité économique et financier.
Je pense que le moment est venu d’abandonner les formules creuses « guerre contre le terrorisme » etc. Et si ce n’était pas une guerre? mais un manque d’arguments, d’autorité, de légitimité?
Il faut reprendre chaque cas de terrorisme et comprendre au moins deux choses: les raisons psychologiques, car le suicide implicite dans ces attaques n’est pas une décision si facile, elle suppose une suite de réflexions etc. Malheureusement pas bcp d’info (+ un peu de censure, spécifique à toute guerre), mais bcp de commémorations. D’ailleurs, on entend rarement de nos jours à la télé les révoltés des banlieues (ce mot en soi est un problème…), comme si tout allait bien de ce côté. Pourquoi en définitive se donner la mort et abandonner tout espoir de devenir heureux autrement? D’où vient cette cruauté de ceux qui ont vécu une éducation occidentale, qui n’ont pas connu les guerres, les tortures etc.? d’où vient ce type de désespoir? Dans les pays de l’est, voici plus de dix ans, les églises étaient pleines à craquer. (C’était la grande crise éco de la transition.)
De plus, il faut voir en quoi l’Etat est un échec pour ces gens-là. Un problème de pouvoir public sans autorité, mais pourquoi? Chacun est plus ou moins intégré dans une société, c’est pas là le problème (pas si important). J’ai tendance à penser que ces gens-là n’ont pas été préparés à la vraie vie d’aujourd’hui, qu’ils ont eu bcp de traumatisme provenant du choc entre leurs rêves et la vie réelle. Un rêve que l’éducation a forcément mal construit dans leurs esprits. Échec de l’école ou de la famille?
PS Banlieue n’a pas de traduction exacte en anglais…
Il est difficile de savoir ce qu’il a gagné concrètement et d’un point de vue juridique. Mais le problème fondamental du flou juridique que l’accord avec l’UE apporte est une perte de certitudes supplémentaire de l’UE par ces temps de crise prolongée. Comment s’engager pour l’UE lorsque les choses deviennent réversibles (et que les règles du jeu deviennent contestables quand elles ne sont plus favorables à tel ou tel pays à un certain moment)? Il met aussi en doute certains articles des traités UE. Est-ce qu’ils se renégocient comme ça en deux nuits, sans passer par aucun référendum/ratification? Si ce n’est pas une renégociation, si UK demande la stricte application des traités, pourquoi passer par une négociation politique au lieu de se faire entendre par la Cour de justice de l’UE pour faire appliquer la loi? Dans les deux cas, à quoi servent les traités encore si tout les leaders les contourne?
Le brouillard vient aussi d’une confusion des genres au sein du Conseil de l »UE, entre le pouvoir législatif et exécutif. Prenons un peu de recul. Pourquoi cette séparation est voulue depuis Montesquieu? Pour limiter les abus, ou les exceptions (à la règle). Il semble que certains profitent de ce défaut démocratique de l’UE au sens de Montesquieu pour demander des exceptions et contourner les traités. Est-ce leur faute?
http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/approfondissements/separation-pouvoirs.html
Je ne crois pas que les Grecs ont fondamentalement changé depuis 2000 ans (et ce n’est pas grave!). Je les voient encore souriants après des années de crise économique, et les traces du passé antique (archéologie et écritures) nous dit qu’ils aimaient jadis aussi la belle vie et le Bonheur de vivre malgré les guerres. Les Grecs ont inventé la philosophie justement pour mieux comprendre le sens de la vie et de vivre (qui n’est pas celui de travailler mais de vivre). Alors pourquoi ne sont-ils plus les gagnants du jeu économique d’aujourd’hui? Évidemment, la réponse est que c’est le reste du monde qui a changé. Mais, plus exactement, en quoi et pour quoi? Mon intuition serait que la majorité du m0nde ne partage plus ces valeurs, le monde est bcp plus matérialiste que les Grecs le voudraient. Une autre, c’est que la philosophie grecque n’est plus du tout comprise, pour plein de raisons…
En tout cas, il est vrai que la philosophie grecque peut être une impasse pour l’économie moderne, c’est une fin de l’Histoire, car elle apporte des réponses aux gens qui normalement doivent venir suite à des macro-expériences (guerres politiques ou éco) ou autres tensions pour comprendre le sens de la vie. Or, c’est cette dynamique qui bouscule l’équilibre général des sociétés et crée les richesses des pays. Est-ce l’impasse de la Grèce actuelle aussi?
Sont-ils les derniers? Quels sont les ressorts psychologiques des français qui se font exploser?
Le temps des critiques des politiques de l’Etat n’est pas encore venu mais on peut observer trois choses:
- rien n’a été fait pour donner de l’espoir économique aux quartiers défavorisés de St-Denis depuis les attentats de Charlie (on dirait que les socialistes ne sont plus au pouvoir)
- rien de visible n’a été fait pour démenteler les circuits du financement de l’EI; comment est-ce possible qu’un tel Etat voie le jour sans la complicité d’autres Etats autour de lui? quel combat diplomatique a-t-on mené pour empêcher la Turquie de jouer un jeu trouble? Bien sûr, les réfugiés c’était notre priorité. Personne n’en parle desormais… Par conséquent, c’est difficile d’argumenter contre ce type de caricatures:
http://www.slate.fr/story/110065/vos-guerres-nos-morts
- on a mis des policiers armés devant des bâtiments vides comme les synagogues ou les mosquées. Quant aux salles bondées de gens – rien! Bizarre que la pierre (le symbole?) est plus importante que la vie des gens. Le tropisme des politiciens accros à leurs « valeurs » ou plutôt à leurs marottes discursives peut être bien nocif.. Le discours l’emporte sur la raison et la logique, un macro-danger de nos temps modernes hyper-médiatisés.
Comment l’homo economicus oublie et se rappelle les FAITS de l’histoire? C’est très inquiétant de voir que le comportement stratégique domine le regard sur l’histoire au plus haut niveau des instances politiques nationales en Europe. C’est le cas de la Grèce. On se rappelle soudainement que l’Allemagne n’a pas acquitté ses réparations de guerre (à la Grèce comme à d’autres). L’Allemagne ne se rappelle pas que son développement économique (à l’ouest) est dû au plan Marshall (mieux géré que les fonds structurels européens il paraît) et non pas à la consolidation fiscale. Et la France aussi met ses blessures de la seconde guerre mondiale sur le devant de la scène à des fins politiques. En psychologie cela peut relever d’une pathologie. En politique cela peut relever d’un mauvais politicien qui ne sait pas négocier et réfléchir. Et dans tout cela, c’est l’histoire qui souffre.
Une question: les profs d’histoire – sont-ils à la hauteur de la déontologie professionnelle nécessaire pour enseigner objectivement l’histoire?
1. Humainement, j’aurais préféré les voir en vie, au prix d’être moins satirique. Les jeunes et moins jeunes de Charlie ont pris des risques considérables, sans même le savoir, en se sachant protégés (par un policier). Sur le plan individuel et de la protection étatique, il y a eu un défaut d’appréciation du risque. Ceci est évident. Ca arrive en finance, mais pas seulement. Notre appréciation du risque est des fois balayée par la recherche d’un idéal, par une vision du monde.
2. Ceci n’excuse pas cette tragédie qui surgit directement des « ténèbres » du Moyen Age. Est-ce le retour du Moyen Age annoncé par A. Minc? Ou c’est un autre Moyen Age?
http://www.amazon.fr/nouveau-Moyen-Age-Alain-Minc/dp/2070328740
C’est assez clair qu’on ne tue pas un président sans conspiration comme on le faisait à Sarajevo il y a 100 ans (et encore…)
Curieux ou non, Sarajevo reste aussi plein de mystères pour les historiens.
Un concept très intéressant:
http://www.philomag.com/fiche-philinfo.php?id=308
L’idée du retour à la nation fait mouche, cf. sondages et le référendum sur la constitution de l’UE. Mais le contexte est encore plus intéressant. Depuis la fin des présidences Jacques Delors de la Commission européenne, les institutions européennes (sauf BCE) cèdent sans cesse du pouvoir aux Etats (représenté par le Conseil de l’UE). Assez symbolique (la sphère symbolique est toujours intéressante pour analyser les institutions), il suffit de regarder le nouvel immeuble imposant du Conseil à Bruxelles.
Il est normal de se demander si cette manoeuvre des politiciens au détriment des technocrates n’a pas été incohérente et même catastrophique pour le destin des Européens. Alors qu’il n’y a pas d’union politique selon les traités, le Conseil de l’UE veut l’improviser. Mais c’est comme si on organisait en France un référendum pour chaque loi. Avoir la Suisse comme modèle pour UE est inefficace et totalement dépourvu de contrôle et de vision. Regardez la gestion du déficit de 3% reprise en mains par les Etats (avec les cortège de malversations comptables) depuis une dizaine d’années. Un échec. La crise et sa gestion reprise en main par les grands Etats? Un cul de sac. Donc les sondages montrent surtout une forme de manipulation de l’électorat par le politicien national (qui parle sa langue et donc semble plus « patriote »).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_au-dessus_d’un_nid_de_coucou
Un film qui fait encore parler de lui malgré la chute du communisme. Et même à l’époque, le film faisait peur aux autorités américaines alors que le metteur en scène tchèque voulait parodier les régimes totalitaires… En réalité, le film parle des institutions qui sont créées par nous pour nous rendre la vie en commun plus simple ou meilleure et qui se retournent contre leurs créateurs en « organisant » leur liberté. Où s’arrêter avec les institutions? Difficile de dire. Mais assez universel. Les règles communistes de survie restent en vigueur (aujourd’hui, ce sont les avocats qui les conseillent, mais elles n’ont pas changé): si tu penses, ne parle pas. Si tu parles, n’écris pas. Si tu écris, ne publie pas. Si tu publies, ne signe pas. Si tu signes, ne sois pas surpris!
http://www.arlea.fr/ARRIERE-PENSEES-D-UN-PARESSEUX
Un livre (1898) qu’il ne faut pas éviter, même si on est paresseux car plein d’humour envers les snobes. A propos de mon billet précédent, on est avant la 1e guerre mondiale, et les gens et leurs idées sur la vie semblent aussi normaux (et même plus) qu’aujourd’hui. Et pourtant… les guerres seront arrivées.
« La vie, il faut la vivre et non pas la passer; il faut l’affronter et non pas l’ordonner. La vie n’est pas une partie d’échecs, dont la victoire ira au plus sagace; c’est un jeu de cartes, et il faut savoir avec habilité tirer le maximum de ce qu’on a en main… Peut-être est-ce pour cela qu’on nous a invités à prendre place et qu’on nous a distribué des cartes, pour que nous apprenions les vertus du véritable joueur: son contrôle de lui-même, son courage face à l’adversité, sa modestie sous la pression du succès, sa fermeté, sa vivacité, son indifférence générale envers les coups du sort. » (p 164)
« La Nature bat sa propres monnaie et exige d’être payée en devises. Dans sa boutique, il faut payer en nature. La plus-value, la fortune héritée, la chance ne sont pas acceptées par les caisses. » (p 232)
« Nous venons ici, me dit-il avec un air de philosophe, pour dire aux autres que nous y sommes venus! » (p 205)
« Un des plus chics types que j’aie jamais connus a gâché sa vie conjugale, sans espoir de jamais redresser la situation, en choisissant une longue et pasible lune de miel. Et là, pendant trente jours, elle a eu tout loisir de le passer au crible. » (p 118)
« Voici ce qui arrive: ou bien vous brisez le téléphone ou c’est le contraire. Ils me disent qu’au début, ils l’insultaient comme je le faisais moi-même; mais à présent leur volonté semble anéantie. » (p 97)
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=2200
Avec ce livre, on a un nouveau regard sur les guerres européennes (manuscrit trouvé et publié en 2001 par un prof de l’univ. de la Réunion). Certes, tout se passe dans les lointains pays des Balkans et il y a longtemps, dans les années 16-17. Certes, il y a la subjectivité du narrateur (Yvonne Blondel, infirmière volontaire et fille de l’ambassadeur de France à Bucarest) envers son pays d’accueil (Roumanie); mais le destin des soldats paysans roumains qui subissent en silence les revers de la machine de guerre allemande et le désordre administratif local alors que les intellectuels diplomates bruyants sont tiraillés entre les arguments pro ou contre les allemands est bien peint.
Roumains, Français, Luxembourgeois, Russes, Allemands, Bulgares, Serbes, Tsiganes, Turques se rencontrent dans les hôpitaux de campagne, les popotes du front ou les salons des villes de province. En pleine guerre, même les alliés (Russes et Français) se chicanent dans les popotes. Malgré la mondialisation (au sens de contacts culturels) qui existait déjà (jusqu’en Roumanie)…, la civilisation européenne s’est tue face aux ambitions politiques et guerrières. Vraiment inédit, à lire.
Une chose est sûre: on sait mieux compter le temps que les Mayas. Lisez sur ce système complexe de comptage. Vous allez comprendre que le progrès correspond aussi à la simplification des choses qui ne semblent nullement simples au départ.
http://www.seuil.com/livre-9782020662246.htm
Enfin un livre qui fait le tour des idées de P. Bourdieu sur l’Etat: « S’agissant d’étudier l’Etat, nous devons être en garde plus que jamais contre les idées reçues, contre la sociologie spontanée… Notre pensée, les structures mêmes de la conscience à travers laquelle nous construisons cet objet particulier qu’est l’Etat, ont de bonnes chances d’être le produit de l’Etat ». C’est le grand défi de ce livre: sortir des cadres de notre pensée sur l’Etat.
Le piège marxiste consiste à le considérer comme un intrument de domination (vision fonctionnaliste des marxistes), un objet démoniaque: cela n’aide pas trop à la réflexion de Bourdieu. Si on parle de violence, c’est plutôt une « violence symbolique légitime » qui fait de l’Etat un monopole consenti car il peut être considéré avec des approximations comme un lieu du consensus sur le monde social (intégration morale et logique chez Durkheim). L’Etat se cache dans toutes ces catégories que nous trouvons banales comme classe sociale, corps de métier, jours fériés, gauche-droite etc.
Bourdieu se penche sur la sociologie des religions. Les analogies entre Etat et religion sont considérables. Par ex, la science administrative ressemble à une théologie; et la haute fonction publique aux évêques. Il y aurait même une concurrence entre Etat et religion (en tout cas en France). A découvrir. Une question reste à la fin du cours de 1991: le récent retour du religieux et la déconstruction corrélée de l’Etat (guerres de Yougoslavie..). Question encore actuelle en 2012 (crise de la dette comme conséquence de la déconstruction de l’Etat) - pourquoi?
P.S. Il serait utile de penser à la Chine qui ne connait pas cette crise.
Quelle chaos! Après trois primaires, 3 gagnats:
http://elections.nytimes.com/2012/primaries/calendar
Perry renonce suite à son célèbre trou de mémoire mais apporte son soutien à NG, un autre « ultra ».
Le créateur de Bugs Bunny, Duffy Duck etc. dans les année 30, avec son génie de la fable et du gag, a sa place parmi les classiques du cinéma. France 3 vient de lui consacrer sa soirée dominicale du cinéma.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tex_Avery
P.S. Il faut rendre hommage aussi au Cinéma de minuit, une émission dominicale sur France 3 depuis… 1976! Une vraie institution.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma_de_minuit
L’unité franco-allemande en politique étrangère reste à construire.. Quand l’un vote pour et l’autre contre la Palestine à l’Unesco c’est encore typiquement… européen et drôle. Mais c’est gênant après 50 ans ensemble dans UE.
1. Le cerveau produits des ondes électromagnetiques:
- Ondes delta : de 0,5 à 4 Hz, celles du sommeil profond, sans rêve.
- Ondes thêta : de 4 à 7 Hz, celles de la relaxation profonde.
- Ondes alpha : de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère et de l’éveil calme.
- Ondes bêta : 14 Hz et plus, celles des activités courantes. Étrangement, les ondes cérébrales passent au bêta pendant les courtes périodes de sommeil avec rêve (sommeil paradoxal), comme si les activités du rêve étaient des activités « courantes ».
Il arrive aussi qu’on parle d’ondes gamma qui se situeraient au-dessus de 30 ou 35 Hz et qui témoigneraient d’une grande activité cérébrale, comme pendant les processus créatifs ou de solutions de problèmes. (Ne pas confondre avec les rayons gamma, émis par le noyau des atomes.)
Mais on vient de découvrir dans un programme nommé OCNI (Ondes Cérébrales Non Identifiées) des ondes allant de 45 à 160 hertz (domaine audible) dans certains cas particuliers de stimulis
2. Tout homme possède de l’électricité statique. Ce qui n’est pas expliqué c’est que certains sont de vraies usines à décharges électriques! Evidemment, quand ces personnes essayent de se servir d’un objet métallique ou approchent d’un appareil électrique, ça peut faire des dégâts…
P.S. La réaction du corps humain au courent électrique commence à 0,5 mA, le seuil de non lâcher est à 10 mA (contraction musculaire) et la mort arrive avec certitude à 1A. Ce n’est pas le voltage (électricité statique), ni l’intensité du champ (tesla) qui font la différence.
La Grèce a bcp investi dans l’armée (des dépenses sans productivité), ce qui n’a pas stimulé la croissance, avec une fuite en avant formidable de la dette publique. Cela me rappelle les mésaventures de l’URSS qui a misé aussi sur l’armée pour affirmer sa suprématie et/ou gagner un conflit qui n’était pas armé. Et plus récemment, la Lybie. Bref, il y en a des exemples………
Renforcée par le débâcle grec, la Turquie (le rival grec éternel qui entre temps a fait ses devoirs en éco comme il faut) a récemment investi le terrain diplomatique de la Méditerranée, visité la Libye un jour après Sarkozy et haussé le ton contre le Chypre grec et Israel. Coincidence avec le débâcle grec? Je pense que oui.
http://www.courrierinternational.com/breve/2011/09/20/guerre-du-gaz-entre-chypre-et-ankara
On comprend mieux pourquoi la France soutient le sauvetage grec et laisse la Russie (grand rival des turcs et grand ami des grecs) ‘agir’ à la mer Noire (elle lui vend des portes-hélicoptères Mistral): tenir la Turquie « occupée ».
PS Une étude sur le sujet aussi:
http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/24/exces-de-vitesse-des-neutrinos_1577201_3244.html
J’ai une seule remarque. D’un point de vue économique, une correction des théories Enstein serait un très mauvais cadeau pour les dépenses des labos, car ils devront réévaluer tous les tests faits depuis un demi-siècle. Est-on prêt à accepter cela?
Les réactions des gens face à une erreur trouvée dans leur travail. Voilà un vrai mystère. Les gens ne réagissent pas de la même manière dans des contextes semblables. Certains s’énervent. D’autres restent indifférents. Certains se sont coupables entièrement / défendent les autres, d’autres transfèrent la responsabilité / la cause de l’erreur. Pourquoi? Parce que le comportement de l’agent économique, supposé unique, ne l’est pas. On peut supposer que chacun applique son jeu stratégique. Ce n’est même pas sûr qu’il ait une stratégie. En tout cas, la réaction découle de son expérience, de son psychique, de son éducation, de son estime de soi, de son inconscient.